- Les avancées réalisées dans le cadre du PGDF. L’état des lieux de la restructuration du Programme.
- La présentation et l’examen du S1 PTBS 2025.
- La présentation du PTBA 2025 et du Plan pluriannuel. Ces sujets ont engendré des échanges approfondis et ont permis d’examiner diverses problématiques évoquées, entraînant ainsi l’approbation du PTBS 2025, du PTBA 2025 et du Plan pluriannuel, moyennant la prise en compte de certaines recommandations formulées lors de cette rencontre.
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3ème Réunion du Comité de Pilotage du Programme de Gestion Durable des Forêts : validation du PTBS 2025, du PTBA 2025 et du Plan pluriannuel

3ème Réunion du Comité de Pilotage du Programme de Gestion Durable des Forêts : validation du PTBS 2025, du PTBA 2025 et du Plan pluriannuel Ce mardi 25 mars, l’Hôtel SULTANI a accueilli la troisième réunion du Comité de pilotage du Programme de Gestion Durable des Forêts (PGDF), présidée par Madame Eve BAZAIBA, Ministre d’État, Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Présidente du Comité de Pilotage du Programme PGDF.
Le FONAREDD, représenté par son Secrétaire Exécutif National adjoint, M. Faustin BOYEMBA BOSELA, a participé à cette réunion dans le cadre d’un suivi général de l’exécution des programmes relevant de son portefeuille, en particulier sur les questions abordées lors de la deuxième réunion du Comité de pilotage du PGDF.

Parmi les questions traitées :
Madame Eve BAZAIBA a souligné l’importance de cette réunion en affirmant qu’il s’agissait d’une occasion de poursuivre et d’approfondir les travaux, d’examiner les progrès réalisés et de relever les défis qui persistent. Elle a également noté que, bien que le programme soit prometteur, il fait face à des obstacles qu’il est nécessaire de surmonter ensemble. Elle a insisté sur la responsabilité de tous les acteurs pour s’assurer que la République Démocratique du Congo continue d’être un leader en gestion durable des forêts.
Il est important de rappeler que ce Programme s’inscrit dans le cadre de l’Initiative pour la Forêt de l’Afrique centrale (CAFI) et vise à mobiliser des financements climatiques pour soutenir le développement durable des pays concernés.

🗞 Première réunion du Comité Technique du Programme d'Appui à l'Agriculture Durable (PAAD)

Le 26 février, le PNUD a réuni pour la première fois le Comité Technique du Programme d’Appui à l’Agriculture Durable (PAAD) en République Démocratique du Congo pour discuter de l’évolution du programme. 🤝
Révision du Plan de Travail Annuel (PTA) et du Plan de Budget Annuel (PTBA) pour 2025-2026, défis liés à l’approvisionnement en semences de base et en boutures primaires de manioc, ainsi que l’identification des sites et des centres d’agrimultiplicateurs pour le lancement effectif des activités : tels sont les sujets clés abordés lors de la première réunion du comité technique du programme PAAD. 🌾

Les membres du Comité Technique ont insisté sur l’importance de mettre en place un système d’agrimultiplication fonctionnel couvrant les 145 territoires de la RDC, afin de garantir une offre de semences accessible jusqu’au niveau de chaque village. Cet objectif vise à assurer la disponibilité de semences améliorées pour les agriculteurs locaux.
🌿🏘
M. Bavon N’SA MPUTU ÉLIMA, Secrétaire Exécutif National du FONAREDD a souligné la pertinence de cette réunion dans le cadre des enjeux de sécurité alimentaire et de productivité agricole en RDC, en insistant sur la nécessité d’un déploiement efficace des activités pour obtenir des résultats concrets. 📈
Le PAAD a pour objectif d’accroître durablement la production agricole, avec un focus sur des cultures clés comme le manioc, le maïs, et les arachides. Le programme vise aussi à développer des chaînes de valeur inclusives pour moderniser le secteur agricole face aux défis actuels. 🌽🥜
Cette première réunion du Comité Technique constitue donc un moment clé pour le PAAD, qui aspire à renforcer la résilience de l’agriculture congolaise tout en préservant les ressources naturelles du pays. 🌿

1ère Réunion de l'Année du Comité de Revue de Programme du FONAREDD : Focus sur le Projet PIREDD-KORLOM et l'Approbation Budgétaire

Les 27 et 28 février 2025, le FONAREDD tiendra sa première réunion du comité de revue de programme de l’année. Parmi les sujets à l’ordre du jour, le projet PIREDD-KORLOM sera au cœur des discussions, avec une attente particulière concernant la demande d’approbation budgétaire.
🔍 Qu’est-ce que le projet PIREDD-KORLOM ?
Ce projet a été approuvé par le COPIL du FONAREDD le 31 novembre 2023 et bénéficie d’un financement de 35 millions USD du CAFI. Il s’étendra sur cinq ans et vise à lutter contre la déforestation tout en améliorant la qualité de vie des communautés dans les provinces de Kasaï-Oriental et de Lomami.
🎯 Voici les Objectifs Clés du Projet :
📌 Promouvoir la gestion durable des ressources forestières.
📌 Renforcer la planification et la gouvernance avec la création de 102 Comités Locaux de Développement (CLD) et l’élaboration de plusieurs plans d’aménagement.
📌 Soutenir des plateformes de concertation à différents niveaux.
📌 Financer des infrastructures et équipements pour les secteurs et territoires.
📌 Mettre en place des mécanismes de Paiement pour Services Écosystémiques (PSE) pour protéger 21 000 ha de savane et de forêt, reboiser 3 600 ha et soutenir la foresterie communautaire.
🌳 De plus, 500 ha de modèles agroforestiers seront établis pour sensibiliser à l’agriculture durable.

Clôture du Programme Intégré REDD+ Oriental (PIREDD-O

Le 13 février 2025, le Bureau du PNUD a eu le plaisir d’organiser la réunion du Comité de Pilotage national du PIREDD-O, signifiant ainsi la fin de ce programme dans les provinces de la Tshopo, du Bas-Uele et de l’Ituri.
Cette rencontre a été consacrée à la présentation et à l’approbation du rapport final du PIREDD-O, ainsi qu’aux résultats de l’évaluation terminale.
Après avoir détaillé les résultats atteints durant les sept années de mise en œuvre, des discussions constructives ont eu lieu, permettant aux membres du Comité de formuler des suggestions pour capitaliser sur les succès du projet et encourager le partage des savoirs.


Le modèle PIREDD appliqué dans ces trois provinces a été une expérience précieuse. Les participants ont exprimé leur souhait de maintenir les succès obtenus afin de favoriser le développement de projets futurs dans la région de la Grande Orientale.
Il est important de rappeler que le PIREDD-O cherche à diminuer la déforestation et la dégradation forestière tout en améliorant de manière durable les revenus des communautés locales, y compris les populations autochtones, les femmes et les jeunes dans les zones ciblées des provinces du Bas-Uele, de l’Ituri et de la Tshopo.
Cela se réalise par une gouvernance améliorée des ressources naturelles (forêts et terres) et par la minimisation des effets des activités économiques et des dynamiques démographiques sur les forêts dans ces zones.

Conférence Interministérielle Internationale sur les Paiements pour Services Environnementaux en Afrique Centrale

Le lundi 27 janvier, au Fleuve Congo Hôtel, Madame Ève Bazaiba, Ministre d’État chargée de l’Environnement et du Développement Durable, a ouvert les travaux de la Conférence Interministérielle internationale dédiée au déploiement des Paiements pour Services Environnementaux (PSE) en Afrique centrale. Cet événement a réuni des décideurs politiques des pays du Bassin du Congo, signataires de la Déclaration conjointe de l’Initiative pour la Forêt d’Afrique Centrale.

Après un segment technique de deux jours rassemblant des experts en forêts, environnement, agriculture, finances et aménagement du territoire des six pays signataires de la Déclaration de CAFI, les Ministres ont exprimé, le mercredi 29 janvier 2025, leur vision et engagement à travers deux documents ambitieux. Cela a permis de poser les bases de l’opérationnalisation des PSE avec le lancement de deux outils numériques.

Dans ce contexte, une feuille de route et une note de position conjointes ont été élaborées, servant de fondations pour le déploiement des PSE et la mobilisation de financements conséquents pour l’Afrique centrale. Les Ministres ont souligné l’importance de mobiliser des financements, tant nationaux qu’internationaux, pour garantir des incitations économiques durables aux acteurs locaux, notamment les communautés autochtones et rurales.
« Nous exhortons nos partenaires techniques et financiers à aligner leurs actions sur les priorités nationales et à participer activement au financement de cette transition. Nous nous engageons à garantir la transparence dans la gestion des fonds mobilisés et à présenter, lors de la COP30, une proposition concrète pour valoriser les services écologiques du Bassin du Congo, avec des objectifs financiers adaptés aux enjeux environnementaux et sociaux. La feuille de route régionale vise à structurer les financements et à accélérer le déploiement des PSE d’ici la COP30 à Belém », ont-ils déclaré dans leur note de position.
Au cours de cette conférence, les participants ont également adopté deux outils destinés à faciliter l’accès aux paiements pour services environnementaux : l’outil de planification « Ground Impact PSE » et l’outil de gestion des PSE, qui représentent des alternatives pour la gestion durable des ressources du bassin du Congo.
« Les Paiements pour Services Environnementaux (PSE) rémunéreront directement les acteurs ruraux qui adopteront des pratiques agricoles durables, basées sur des performances vérifiées. Nous envisageons que les PSE puissent être appliqués à différentes échelles, tant au niveau individuel qu’au niveau communautaire. La position commune que nous présentons aujourd’hui nous engage à intégrer ces mécanismes dans nos futurs projets de développement agricole, forestier et agroforestier, tout en tenant compte des enjeux climatiques et environnementaux », a déclaré Ève Bazaiba Masudi, Ministre d’État, ministre de l’Environnement.
L’outil de planification Ground Impact PSE permettra une planification précise et adaptable des paiements, tandis que l’outil de gestion des PSE optimisera l’échelle, l’efficacité, la transparence et l’impact des investissements dans la région.
« Notre position commune nous pousse à envisager des projets de développement agricole, forestier et agroforestier durables et équitables. Des initiatives comme la reforestation et la conservation viseront à répondre aux besoins des communautés et à établir une collaboration stratégique avec nos partenaires internationaux. Cela constitue une stratégie visant à offrir des alternatives aux populations vivant en relation avec la forêt, leur permettant de gérer durablement ces ressources », a ajouté Ève Bazaiba.
Il convient de noter qu’un partenariat « inédit » sera prochainement lancé entre le Costa Rica, pionnier des PES en Amérique latine, et les pays d’Afrique centrale. Selon Ève Bazaiba, ce partenariat a pour objectif d’accélérer le déploiement de ces mécanismes innovants sur le continent africain. Cette initiative est soutenue par six États d’Afrique centrale : la République démocratique du Congo, la République du Congo, le Gabon, le Cameroun, la République Centrafricaine et la Guinée Équatoriale, avec l’appui des partenaires tels que l’Initiative pour la Forêt de l’Afrique centrale (CAFI).
Cette conférence constitue une étape clé pour renforcer la coopération régionale en matière de gestion durable des forêts et garantir un avenir meilleur pour les populations locales ainsi que pour la biodiversité.
