Le FONAREDD et ses partenaires font le point sur le PAAD : Digitalisation, Sensibilisation et mise à jour des Agri-multiplicateurs

     

    Kinshasa, 20 novembre 2025 – Le Secrétariat Exécutif du FONAREDD, avec l’appui du PNUD et des partenaires BCECO, SAGRISA et CFEF, a organisé une réunion de suivi du Programme d’Appui à l’Agriculture Familiale Durable (PAAD), financé par le FONAREDD sur fonds CAFI, dans le cadre du Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T).

     

    Objectif de la rencontre

     

    Cette session avait pour but :

     

    • – Suivre la mise en œuvre des activités du PAAD.
    • – Échanger sur l’état d’avancement dans les zones d’intervention.
    • – Identifier les défis rencontrés et le niveau de collaboration entre les parties prenantes.
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    Déroulement et points clés

     

    La réunion s’est tenue au siège du FONAREDD à Kinshasa et a réuni 19 participants issus des institutions partenaires. L’ordre du jour portait sur un point principal : l’état d’avancement des activités du PAAD.

     

    Le PNUD, agence d’exécution, a présenté les principales réalisations dans les 19 provinces présélectionnées pour le lancement des activités. Les discussions ont mis en lumière :

     

    • – Retards dans la transmission des informations par certains partenaires (notamment BCECO).
    • – La nécessité de prendre en compte les enjeux REDD+ dans le choix des espaces pour l’installation des champs.
    • – L’importance de mettre en place des outils de suivi efficaces.
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    Recommandations majeures

     

    Trois recommandations prioritaires ont été formulées :

     

    1. 1. Renforcer les outils de suivi, notamment par la digitalisation.
    2. 2. Sensibiliser les acteurs aux enjeux liés à la déforestation.
    3. 3. Actualiser la base des agri-multiplicateurs pour améliorer la diffusion des semences améliorées.

     

    En perspective, le FONAREDD attend du PNUD une note détaillée sur l’état d’avancement et des échanges approfondis sur les questions de financement.

     

    Prochaines étapes

     

    • – Préparer une note de plaidoyer auprès du BCECO pour accélérer les procédures de passation des marchés.
    • – Intégrer dans le rapport annuel 2025 le niveau d’atteinte des résultats et la consommation budgétaire.
    • – Inclure les données géoréférencées des champs installés et produire une base cartographique des agri-multiplicateurs.

     

    Un programme structurant pour la RDC

     

    Avec un budget global de 55 millions USD (dont 45 millions financés par CAFI via FONAREDD), le PAAD vise à :

     

    • – Accroître la productivité agricole (manioc, maïs, arachide, légumineuses).
    • – Réduire la pression sur les forêts en promouvant des pratiques agricoles durables.
    • – Renforcer les infrastructures de stockage et de transformation pour dynamiser les chaînes de valeur.

    À terme, le projet ambitionne :

     

    • – 3,7 millions de ménages bénéficiaires.
    • – 82 893 hectares emblavés avec des variétés améliorées.
    • – 103 048 tonnes de production additionnelle, contribuant à éviter 27 000 hectares de déforestation.
    RDC : Lancement officiel des travaux d’élaboration de la Politique Nationale de Population

     

     

    Le 10 novembre 2025, la République Démocratique du Congo a franchi une étape majeure en lançant officiellement les travaux d’élaboration de la Politique Nationale de Population (PNP). Cet atelier, organisé à Kinshasa par le Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, marque le début d’un processus stratégique visant à doter le pays d’un cadre de référence pour toutes les interventions en matière de population et de développement. Cette initiative s’inscrit dans les engagements internationaux de la RDC, notamment ceux pris lors de la COP26 à Glasgow, et constitue un levier essentiel pour orienter le développement durable et améliorer les conditions de vie des populations.

     

    Pourquoi une Politique Nationale de Population ?

     

    Depuis l’indépendance, la RDC ne dispose pas d’une politique nationale dédiée à la population, malgré plusieurs tentatives en 1988 et 2005. Cette absence de cadre fédérateur a entraîné une faible coordination des interventions des partenaires et une pression croissante sur les ressources naturelles due à la croissance démographique incontrôlée. La PNP ambitionne de mieux intégrer les variables démographiques dans la planification sectorielle et globale du développement.

     

    Un atelier riche en échanges

     

    L’événement a réuni une centaine de participants, parmi lesquels des membres du Gouvernement, du Parlement, des agences onusiennes, des partenaires techniques et financiers, ainsi que des représentants de la société civile et du monde scientifique. Les temps forts ont été marqués par :

     

    • – La présentation de la note de cadrage et du chronogramme du processus par le consultant ;
    • – L’intervention de M. Bruno Lemarquis, représentant du Système des Nations Unies, réaffirmant l’engagement des partenaires à accompagner ce processus ;
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    • Le discours officiel du Ministre du Plan, lançant les activités et soulignant l’urgence de doter la RDC d’une PNP.

    Participation du FONAREDD

     

     

     

    Le Fonds National REDD+ (FONAREDD) a pris part à cet atelier dans le cadre de son rôle d’accompagnement la réalisation des jalons de la Lettre d’Intention 2 (2021-2031) signée entre la RDC et l’Initiative pour la Forêt d’Afrique Centrale (CAFI).

     

    À travers le Projet d’Appui à l’Atteinte des Jalons (PAAJ), financé par CAFI via le FONAREDD, le Fonds soutient le Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement dans :

     

    • – La redynamisation du CONAPO (Comité National de la Population) et ses organes ;
    • – L’élaboration et adoption de la Politique Nationale de Population d’ici 2024 ;
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    • La mise en place d’un plan de plaidoyer pour garantir la mise en œuvre effective de cette politique à travers un financier sectoriel conséquent.
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    Ces jalons sont essentiels pour intégrer la dimension démographique dans la planification du développement durable et contribuer à la réduction des pressions sur les ressources naturelles, conformément aux objectifs REDD+.

     

    Prochaines étapes

     

    Le processus se poursuivra par des missions en provinces pour finaliser le diagnostic démographique, suivi de l’élaboration du profil démographique national et du draft de la PNP.

     

    Le FONAREDD devant le Sénat : Transparence et Gouvernance au cœur des échanges

     

    Kinshasa, 06 novembre 2025 – Le Secrétaire Exécutif du Fonds National REDD+ (FONAREDD), Monsieur Bavon N’SA MPUTU ELIMA a été reçu ce jeudi par la Commission Environnement, Développement Durable, Ressources Naturelles et Tourisme (EDDRNT) du Sénat, conformément à l’invitation officielle numéro : N° CAB/PDT/SENAT/SLK/C.EDDRNT/PK/2025, adressée par le Président de la Chambre haute de la République Démocratique du Congo.

     

    Cette audition s’inscrit dans le cadre des missions d’information et de contrôle du Sénat sur les services publics, conformément à l’article 138 de la Constitution de la République Démocratique du Congo. Elle s’inscrit également dans la dynamique de suivi et d’évaluation des projets financés par l’Initiative pour la Forêt d’Afrique Centrale (CAFI) en RDC.

    Présentation du cadre institutionnel

    En ouverture, le Secrétaire Exécutif a présenté brièvement le fonctionnement du FONAREDD et le Partenariat Gouvernement–CAFI, en mettant en lumière le rôle stratégique du Fonds dans la mise en œuvre de la stratégie nationale REDD+. Il a également expliqué les mécanismes de gouvernance mis en place pour garantir la transparence et la redevabilité.

     

     

    Les échanges ont tourné autour de cinq préoccupations des Honorables Sénateurs, exprimées dans la lettre d’invitation du Président du Sénat. Il s’agissait des préoccupations suivantes :

     

    • La coordination entre les différentes parties prenantes (ministères sectoriels, agences d’exécution, ONG, CLD, provinces) ;
    • Les difficultés majeures de gouvernance rencontrées et les solutions proposées ;
    • Le montant total des fonds CAFI reçus par le FONAREDD depuis la signature de la seconde Lettre d’Intention (2021-2026) ;
    • La part effectivement transférée aux agences d’exécution et aux programmes provinciaux ;
    • Les mécanismes de contrôle interne existants pour assurer la traçabilité des fonds du niveau central jusqu’aux CLD.

     

    Le Secrétaire Exécutif a apporté des réponses détaillées à chacune de ces préoccupations, en insistant sur les efforts déployés pour améliorer la gouvernance, renforcer la transparence et garantir une meilleure absorption des financements.

     

    Un engagement réaffirmé

    Lors de cette audition, les Sénateurs ont pris l’engagement d’accompagner le processus d’institutionnalisation du FONAREDD ainsi que l’obtention d’une quotité nationale dans son financement. Ils ont également réaffirmé leur volonté de voir les ONG et les entités nationales accéder aux financements alloués au FONAREDD par CAFI, afin de favoriser une large appropriation, de pérenniser les investissements et d’accentuer les impacts des financements.

    Perspectives

    Cette audition marque une étape stratégique dans le renforcement du dialogue institutionnel entre le FONAREDD et la Chambre haute du Parlement. À travers leurs interventions, les Honorables Sénateurs ont exprimé une volonté claire d’inscrire durablement le FONAREDD dans l’agenda du suivi et de l’évaluation de la Chambre haute du Parlement de la RDC, attestant ainsi de l’importance accordée aux politiques de gouvernance forestière et aux engagements climatiques de la République Démocratique du Congo.

     

    Le Sénat a réaffirmé son rôle constitutionnel de contrôle et d’orientation stratégique, en soulignant la nécessité de :

     

    Pérenniser le dialogue institutionnel avec le FONAREDD ; Assurer une supervision parlementaire accrue des financements climatiques et des programmes soutenus par l’Initiative CAFI ; Intégrer les priorités REDD+ dans les travaux des commissions permanentes, en particulier celles en charge de l’environnement, du développement durable et des ressources naturelles ; Accompagner le processus d’institutionnalisation du FONAREDD, afin de garantir son ancrage dans la politique publique nationale.

     

    L’intégration du FONAREDD dans les réflexions et initiatives parlementaires contribuera à consolider les réformes en cours et à appuyer la mise en œuvre des engagements climatiques de la RDC, dans une perspective de responsabilité nationale et de leadership africain.

    Le FONAREDD en première ligne pour la vulgarisation de la Politique de l’Agriculture Durable en RDC

    La République Démocratique du Congo s’est dotée d’une Politique de l’Agriculture Durable (PAD) ambitieuse, conçue pour transformer le secteur agricole en levier de développement économique, de sécurité alimentaire et de lutte contre le changement climatique. Cette politique s’inscrit dans la vision du Plan National Stratégique de Développement (PNSD 2050) et vise à promouvoir une agriculture productive, inclusive et respectueuse des ressources naturelles.

     

    Le FONAREDD, en tant que mécanisme national de coordination des financements liés à la REDD+, joue un rôle central dans la mise en œuvre de cette politique. Il accompagne le Ministère de l’Agriculture dans la mobilisation des acteurs, le renforcement des capacités, et la vulgarisation des orientations stratégiques de la PAD. À travers ses interventions, le FONAREDD soutient la transition vers une agriculture sédentaire  sans brulis, la sécurisation foncière, la valorisation des chaînes de valeur locales et la réduction de la pression sur les forêts.

     

    La PAD repose sur cinq piliers : le renforcement des capacités, la bonne gouvernance, l’inclusion sociale et le genre, l’aménagement du territoire et l’accès au foncier, ainsi que le développement des chaînes de valeur agricoles décentralisées. Elle propose des solutions concrètes aux défis structurels du secteur : faible productivité, insécurité alimentaire, déforestation, accès limité aux intrants et aux financements, et marginalisation des groupes vulnérables.

     

     

    Discours de Maître Dominique WEMO OKITOKOKO, délégué du  SE FONAREDD, devant le Min Prov. de l’agriculture  du Maniema, les 7 Inspecteurs ruraux et les participants.

     

    Dans le cadre de la vulgarisation de cette politique, une mission conduite par le FONAREDD et le MINAGRISA s’est tenue du 21 au 28 septembre 2025 dans la province du Maniema. L’atelier organisé à Kindu a réuni les inspecteurs agricoles des sept territoires ruraux (Kibombo, Kailo, Pangi, Punia, Kabambare, Kasongo et Lubutu)  le Ministre provincial de l’Agriculture, et des représentants de la société civile. Le document de la PAD, traduit en quatre langues nationales, a été distribué aux participants, marquant le lancement officiel de sa vulgarisation.

     

    Cette mission a permis de sensibiliser les acteurs locaux aux enjeux de la PAD, notamment la lutte contre la déforestation causée par l’agriculture sur abattis-brûlis.

     

    Elle a également renforcé la visibilité du FONAREDD en tant que partenaire stratégique et représentant des bailleurs, affirmant son leadership dans la coordination des efforts pour une agriculture durable en RDC. L’implication des inspecteurs agricoles et des autorités locales témoigne d’une appropriation croissante de la PAD au niveau provincial, essentielle pour sa mise en œuvre effective.

    Semaine du CLIMAT : Le rôle stratégique du FONAREDD présenté par son Secrétaire Exécutif National

    Semaine du CLIMAT : Le rôle stratégique du FONAREDD présenté par son Secrétaire Exécutif

     

    Kinshasa, 28 octobre 2025 — À l’occasion de la deuxième journée de la Première Semaine Nationale du Climat, placée sous le thème « Forêts, biodiversité et mobilisation des financements climatiques pour le développement durable de la RDC », le Secrétaire Exécutif National du FONAREDD, M. Bavon N’SA MPUTU ELIMA, a pris la parole dans le cadre du Panel 3 consacré aux synergies entre le MEDD-NEC et les secteurs clés de l’économie congolaise.

     

     

    Dans son intervention, le Secrétaire Exécutif National a dressé un tableau de la situation forestière en République Démocratique du Congo, soulignant que le pays, bien que détenteur de l’une des plus vastes biodiversités au monde, est confronté à une déforestation galopante aux conséquences multiples : perte de terres agricoles, insécurité alimentaire, pauvreté accrue, conflits communautaires et perturbations climatiques.

     

     

    Face à ces défis, il a rappelé l’engagement de la RDC dans le processus REDD depuis 2009, avec l’adoption en 2013, d’une stratégie nationale ambitieuse visant à inverser la courbe de déforestation et stabiliser le couvert forestier à 63,5 % du territoire national. Cette stratégie s’articule autour de deux piliers : la préservation des écosystèmes forestiers et l’amélioration des conditions de vie des populations.

     

    Un mécanisme structurant et transparent

     

    Le Secrétaire Exécutif a ensuite présenté le Fonds National REDD (FONAREDD) comme l’outil central de mise en œuvre de cette stratégie. Opérationnalisé en 2016, le FONAREDD fonctionne comme un mécanisme de financement public, placé sous la gouvernance conjointe des Ministères des Finances et de l’Environnement. Il est chargé de mobiliser, gérer et orienter les ressources financières vers des programmes et projets à impact REDD+ sur le terrain.

    Le FONAREDD repose sur un processus rigoureux d’appel à propositions, d’évaluation technique et de validation par un comité d’approbation multipartite. Ce fonctionnement garantit la transparence, l’alignement avec les priorités nationales et l’efficacité dans l’allocation des ressources.

     

    Un partenariat stratégique avec CAFI

     

    La 2ᵉ Lettre d’Intention (LOI) du partenariat entre la RDC et le CAFI, couvrant la période 2021–2031, vise à soutenir les efforts nationaux en matière de gestion durable des forêts, de réduction de la déforestation et de développement rural résilient. Elle repose sur des principes de redevabilité mutuelle, de performance fondée sur les résultats et de coordination interinstitutionnelle, garantissant une mise en œuvre alignée sur les priorités nationales et les engagements internationaux du pays.

     

    Les jalons de performance de cette LOI couvrent plusieurs secteurs clés, notamment l’aménagement du territoire, la gouvernance forestière, l’agriculture durable, l’énergie, la tenure foncière et le développement communautaire. Un système rigoureux de suivi et d’évaluation permet de mesurer les progrès réalisés et d’ajuster les interventions en conséquence. Le budget global engagé par les bailleurs s’élève à 713,2 millions USD, reflétant un engagement financier majeur en appui à la mise en œuvre des réformes et programmes structurants.

     

    Sur ce budget global des engagements 513,0 millions USD (soit 71,93 %) ont été approuvés à travers des projets. Parmi ceux-ci, 403,19 millions USD concernent les programmes provinciaux intégrés, soulignant l’importance accordée à la mise en œuvre territoriale des interventions.

    FONAREDD a mobilisé 350,6 millions USD, dont 346,7 millions USD issus des bailleurs et 3,9 millions USD provenant d’intérêts et autres revenus, représentant 68,36 % du budget approuvé. Sur ce total, 349,1 millions USD ont été décaissés aux agences d’exécution, soit 99,57 % des ressources mobilisées, témoignant d’une exécution quasi intégrale.

     

    Au 30 septembre 2025, les dépenses justifiées par les agences s’élèvent à 250,4 millions USD (71,73 % du total décaissé), tandis que le solde à justifier reste de 98,7 millions USD (28,27 %).

    Des résultats concrets et structurants

     

    Dans son intervention, M. Bavon N’Sa Mputu a mis en lumière les réformes et politiques majeures soutenues par le FONAREDD, qui traduisent l’impact concret du partenariat RDC–CAFI :

    1. Agriculture : Politique de l’Agriculture durable validée en Conseil des Ministres le 17 février 2023, promouvant une agriculture moderne, productive et respectueuse des forêts.
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    1. Forêts : Politique Nationale Forestière finalisée et validée en novembre 2025, intégrant les principes de gestion durable, de préservation des forêts de grande valeur et des tourbières.
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    Aménagement du Territoire : Politique nationale de l’Aménagement du Territoire validée le 3 juillet 2020Loi d’aménagement du territoire promulguée en juillet 2025Plan National d’Aménagement du Territoire formalisé ; Office National d’Aménagement du Territoire créé ; Guides méthodologiques produits ; Schéma National d’Aménagement du Territoire en cours d’élaboration ; Politique foncière nationale adoptée le 17 novembre 2021.

    1. Énergie :  Politique Nationale de l’Énergie en circuit décisionnel ; Étude d’Impact Environnemental Stratégique révisée et resoumise le 24 juin 2025Cadre réglementaire du Gaz de Pétrole Liquéfié (GPL) renforcé (décret d’avril 2025 + arrêtés ministériels) ; Plans directeurs d’approvisionnement en bois-énergie élaborés pour Isiro et Kalemie.

     

     

    Une vision d’avenir partagée

     

    1. Bavon N’Sa Mputu ELIMA a conclu en réaffirmant la volonté du Gouvernement de la RDC de poursuivre les réformes et de renforcer la mobilisation des financements climatiques, dans le cadre de la stratégie REDD+ et de la Contribution Déterminée au niveau National (CDN). Le FONAREDD demeure un levier essentiel pour concrétiser cette ambition, en plaçant les communautés, la biodiversité et la gouvernance au cœur de l’action climatique.

     

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