Depuis 2009, la République Démocratique du Congo (RDC) s’est engagée dans le processus de réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD+), sous le lead des Ministères des Finances et de l’Environnement et Développement Durable en partenariat avec l’ONU et la Banque mondiale. En mars 2010, la RDC est devenue le premier pays africain dont le plan de préparation à la REDD a été approuvé par l’ONU.
Pour mobiliser et combiner diverses sources de financement à support de la stratégie nationale REDD+, le pays a mis en place un Fonds National REDD+ (FONAREDD) administré par le Multi-Partner Trust Fund (MPTF) des Nations Unies.
Notre engagement est de participer à la préservation et à la gestion durable du deuxième plus grand bassin forestier du monde, tout en garantissant l’amélioration des conditions de vie de la population congolaise.
Principaux moteurs de la déforestation: Agriculture sur brûlis, Gestion non durable de la production de bois énergie, Exploitation illégale et non durable du bois d’œuvre ;
Dans notre volonté de maintenir une transparence totale dans notre travail, nous mettons régulièrement à disposition les documents de programme, les rapports des évaluations indépendantes et tous les autres documents de référence afin de diffuser spontanément des informations sur nos activités.
L’importance de ce projet pour nous, peuples autochtones pygmées, est de nous sortir de la pauvreté, que le développement nous atteigne, que nous sachions comment faire étudier nos enfants, comment fonder nos foyers, comment vivre, comment prendre en charge nos soins, comment équiper nos maisons… C’est pour ça qu’à travers tout ce que vous voyez ici -Canardière, porcherie, chèvrerie, décortiqueuse de riz et le rucher que vous venez de voir de ce côté-là dans la forêt- nous voyons déjà petit à petit un changement dans notre communauté. »